Mercredi le 10 Avril 2013
Le Supplice De La Croix
Les Message du Forum. Le Supplice De La Croix
Voici une description médicale des souffrances physiques de Jésus sur la croix, selon le docteur Gérald H. Bradley.
Aucune autre mort ne pouvait être plus cruelle pour un humain. Jésus a dû se supporter lui-même afin de parvenir à respirer. La douleur cuisante provoquée par les clous qui frottaient contre les nerfs de ses poignets se propageait jusque dans ses bras, son cerveau et sa colonne vertébrale. Les clous enfoncés dans ses pieds frottaient contre ses os métatarsiens et faisaient raidir tout son corps. En réaction, les muscles de ses jambes se contractaient en entraînant toujours plus son corps vers le bas.
Jésus pouvait inspirer, mais il était incapable d'expirer tant que le gaz carbonique de ses poumons et de son système sanguin n'avait pas atteint un niveau qui forcerait sa respiration à reprendre et à dissiper ses crampes.
L'épuisement, l'état de choc, la déshydratation et la paralysie contribuaient tous à la mort d'un crucifié.
Le cœur de la victime pouvait à peine pomper son sang épais à mesure que mouraient, l'une après l'autre, ses milliards de globules.
Mais, juste avant sa mort, malgré toute son agonie, Jésus avait la pleine maîtrise de son esprit. C'est pourquoi, il a pu, à haute voix, demander à son Père céleste de pardonner à ses bourreaux, car ceux-ci ne savaient pas quelle était la grandeur de leur crime (voir Luc 23 :34). C'est pour chaque individu en particulier que l'agneau de Dieu s'est offert en sacrifice.
Au moment où Jésus est mort, son sang s'est coagulé et de lui est sorti de l'eau (sérum sanguin).
Description médicale (2)
Ce que le Dr Barbet a écrit après avoir étudié le mécanisme de la crucifixion: "...La position d'un homme cloué ou attaché sur la croix est celle d'un homme dont la poitrine est comprimée par la traction que le poids de son corps exerce sur les muscles de ses bras.
Dans cette position, pour pouvoir faire entrer de l'air dans ses poumons, le supplicié doit se soulever en tirant sur ses bras. Au bout d'un certain laps de temps, qui dépend de la force de ses muscles et de la valeur de sa résistance nerveuse, le malheureux n'a plus la force de se soulever et ne peut plus respirer. Il commence alors à donner les signes classiques de l'asphyxie et il meurt.
Le mécanisme de la crucifixion fonctionne sur ce principe mais de façon beaucoup plus cruelle parce que les pieds du condamné, cloués sur la barre de la croix, lui fournissent un point d'appui qui lui permet de se soulever régulièrement pour respirer. De cette façon, au lieu de mourir en quelques minutes, le crucifié, s'il a beaucoup de courage et de force, peut mourir en vingt-quatre heures. C'est un mécanisme diabolique. Chaque fois qu'il se soulève pour combattre l'asphyxie menaçante, le condamné tire sur ses chairs où les clous sont plantés. Il cherche donc à respirer le moins souvent possible, il règle lui-même l'horreur de son agonie et la fréquence de ses douleurs. En somme, il rythme la souffrance de l'asphyxie avec la souffrance que causent les plaies de ses poignets ou de ses pieds..."
Ésaïe 53: 2-9
"Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n'avait rien pour nous plaire.
Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de Lui aucun cas.
Cependant, ce sont nos souffrances qu'Il a portées, c'est de nos douleurs qu'Il s'est chargé; et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié.
Mais Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.
Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie; et l'Éternel a fait retomber sur Lui l'iniquité de nous tous.
Il a été maltraité et opprimé, et Il n'a point ouvert la bouche, semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n'a point ouvert la bouche.
Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment; et parmi ceux de sa génération, qui a cru qu'Il était retranché de la terre des vivants et frappé pour les péchés de mon peuple?
On a mis son sépulcre parmi les méchants, son tombeau avec le riche, quoiqu'il n'eût point commis de violence et qu'Il n'y eût point de fraude dans sa bouche."
Que Dieu vous garde et vous bénisse.
Votre frère et Serviteur : Michel.
lhommedeouleurs : La bonne nouvelle de l'évangile par le Web.